La soirée avait commencé comme toutes les autres. Le jardin baignait encore dans la lumière dorée du soleil couchant, les oiseaux se disputaient les dernières branches, et moi je m’étais réfugié dans le cabanon pour ranger quelques outils. J’aimais ce silence de fin de journée, le parfum du bois et de l’herbe coupée, l’odeur de la terre encore chaude. Mais cette fois, le calme ne dura pas.